mardi 8 décembre 2009

Sentimentale

Je suis fleur-bleue (à dire vrai, quelle femme ne l’est pas ? toi aussi, avoue !), c’est un fait, une évidence.

Une désolation parfois, pour mon homme, dont l’Indice Romantisme (Copenhage, tu m’inspires…) est pourtant extraordinairement élevé ; combien de films de série B vus pour une minuscule scène où le raffinement le dispute aux élans du coeur, hum, combien ?

J’aime les comédies sentimentales américaines, la littérature anglaise du 19ème, « les hauts de Hurlevent », les sentiments meurtris, « Jane Eyre », le baiser final de « my blueberry nights » , les retrouvailles sur les quais de gare, les paquerettes (et pourtant ça ne sent pas très bon), les violettes (et pourtant ça sent bon puis plus rien une fois coupées), « les mots bleus » (plutôt par Bashung), ad libitum…

J’aime l’amour.
Les histoires d’amour.
Quand elles commencent mal et finissent bien, ou vice-versa.

Alors, après m’être plombée le cœur avec « des hommes », je commande à mon libraire (à l’IR très élevé) un livre où les mots seraient légers comme des plumes, l’espérance un leitmotiv, les lendemains beaux.




Il me ramène « La délicatesse » de David Foenkinos.
Je m’y plonge avec délectation. Au début. Le premier tiers est à la hauteur de mes attentes : une histoire d’amour, telle une anecdote, quelques années d’une vie, tel un élan, résumées en 50 pages, vives, drôles, incarnées.
Et puis la brisure, nette, qui arrive si vite, qui nous surprend, comme l’héroïne, en pleine lecture. Quelques magnifiques pages à cet endroit précis du livre.

La reconstruction, lente, douloureuse, chaotique, est aussi une partie intéressante du roman.

Ca se gâte lorsque frémissent à nouveau les sentiments amoureux, je suis restée hermétique à cette deuxième histoire, dommage.



Au final, je me souviendrais que Foenkinos a sa petite musique des mots, la finesse, le sens de l’empathie, mais que c’est bien peu pour un roman.


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dimanche 6 décembre 2009

Rouge

Je ne suis pas une grande fan de cette période dite "des fêtes" (contrairement au reste de la blogosphère visiblement !), plus souvent envahie par la mélancolie que par la joie enfantine qui semble sévir chez les autres.

Je reconnais néanmoins que l'arrivée de Leonard dans notre home sweet home m'apporte la légèreté qui me faisait défaut avant, et c'est avec bonne humeur que je cède petit à petit du terrain aux traditions !

Cadeaux achetés, cadeaux home made, sapin, illuminations, marchés de Noël...si ça continue, je vais finir par aimer la bûche à la crème au beurre !!!












Sapin. Rouge.
Parce que c'est Noël, et aussi la couleur des pompiers ;-)











Samedi matin, visite complète de la caserne (mais, pffff, le capitaine - le grand chep' comme dit Leonard - était absent, et point de sirène hurlante, sauf celle de nuit, parce qu'elle fait moins de bruit).
Leonard ravi, qui voulait rester avé les pomplé, monter sur le poi du cahon et aussi monter à la gran échelle.





Un très bon samedi. N'en déplaise à la mélancolie !

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jeudi 3 décembre 2009

Apnée

Je ne sais pas nager la tête sous l’eau, ça me fait peur, je m’étouffe, je suffoque.

Je viens de terminer « Des hommes » de Laurent Mauvignier.
En apnée.
Tout du long.
La boule dans la gorge, qui enfle, qui retient les cris, des cris ensevelis sous des torrents de larmes qui ne coulent pas.
La nausée aussi. Et puis une forme d’admiration.
Des hommes, trop jeunes, ont donc vécu cela.
Ces choses-là.
« Des hommes », ce sont ceux qui se taisent, qui font comme si.
Comme si de rien. Et pourtant ils ont vu, ils ont fait, ils sont revenus, ils se sont tus.
La guerre d’Algérie, « pas Verdun » comme on leur dit, comme pour dire « pas vraiment la guerre ». Mais alors quoi ?
Des hommes, et puis l’un d’entre eux, Feu de bois, qui n’a pas pu faire comme si. Il a vu, il ne s’en est jamais remis. De sa déchéance longue de 40 ans, racontée par la petite lorgnette d’une fête de famille qui tourne mal, naîtra la parole de Rabut, le narrateur. Il va nous dire, crescendo, ce que c’était que cette guerre de pacification.
A laquelle il n’aura rien compris.
Il va d’abord s’y refuser, et puis il va parler, se libérer, et dans le même temps charger nos cœurs de ses souffrances. De celles qui vous réveillent en pleine nuit, toutes les nuits, depuis 40 ans.

Je ne sais pas nager la tête sous l’eau. J’ai peur, je m’étouffe, je suffoque.

Laurent Mauvignier m’a tenue en apnée quand d’autres se contentent de nous tenir en haleine.




Respiration.

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samedi 28 novembre 2009

Interlude

En quête de distractions pour Leonard, et notamment quand le temps de chien qui sévit ces jours-ci nous confine à l'intérieur, j'ai trouvé il y a déjà quelques semaines des infos sur une ludothèque située dans le quartier de la Bastide, soit à quelques stations de tramway de chez nous. Première visite cet après-midi.



Interlude, c'est donc son nom, murs en pierre et vue sur le jardin botanique (tiens, en voilà une sortie maintes fois reportée faute de ciel clément, grrrr), est "the place to be" les jours de pluie !!!
Des centaines de jeux et jouets (même des playmobils, c'est peu dire que le poupilou s'est senti tout de suite comme chez lui !!) en libre-service, des enfants partout (oui, je sais, pas le rêve absolu, sauf pour nos monstres chérubins en pleine sociabilisation), et même aujourd'hui un mini marché de Noël où l'on pouvait trouver des jeux en bois et en textile (maman ravie) et des crêpes au sucre (enfant ravi) !!! Une bourse aux jouets également, avec 2 livres et un jeu, le tout pour 7 €, dans notre escarcelle.



Conquis par ce lieu, nous avons aussitôt pris la carte d'adhésion (30 € pour l'année, ça ne fait pas chère l'heure de défouloir !!!). Le règlement stipule, pour assurer du temps et de la place pour tous, qu'il convient de ne pas dépasser 2 heures de présence....voilà bien ce qui risque de nous causer soucis (ce sera bien le seul !) à l'avenir, j'en ai pour preuve la résistance dont a fait preuve Leonard aujourd'hui au moment de partir. Mais nous avons su faire preuve d'autorité, n'ayez crainte (viens, Leo, y'a un toboggan dehors, et puis après on reprend le tram, tu veux un gâteau mon chéri ?)




Leonard était aux anges, nous claqués aussi, c'est sûr on y retournera très vite !
Toutes les infos ici, pour les interessé(e)s.

Et puis, sur le chemin du retour, le ciel était bleu marine, zebré par les grues immenses (je suis comme mon fils, j'aime les grues et les chantiers, cherchez pas !) qui témoignent du renouveau de ce quartier et le clocher de l'église Ste Marie vallait bien toutes les illuminations de Noël.






Bon week-end  tous !

PS : au programme du WE également, le vaccin "H1N1-tu-ne-passeras-pas-par-moi"...j'aurais plein de choses à dire sur l'organisation de cette campagne de vaccination, a fortiori quand on se trimballe un bambino de 25 mois, mais je ne le ferai jamais aussi bien que Peg. Dont acte !

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dimanche 22 novembre 2009

En stock

Après le marché St Michel et La Droguerie, j'ai complété mon stock de tissus lors d'une visite au salon Passions Créatives de Bordeaux.
Sur place, beaucoup de stands dédiés au patchwork, qui regorgent de petits assortiments de coupons très très jolis. Et puis une vendeuse anglaise de tissus Liberty (visiblement dégriffés) à 12 € le mètre, voilà  une occasion que je n'ai pas manquée !



En attendant de tailler là-dedans (j'ai un gros projet en tête (pour moi) ), je chauffe la MAC avec du déjà fait et du tissu acheté depuis longtemps...Et je réfléchis à un pantalon assorti, histoire de ma la jouer "tenue complète" pour une fois !

Vous avez vu les p'tits boutons mimi trouvés eux aussi sur le Marché ?

Sans transition, la carte postale du week-end est très automnale : bonnet / blouson / bottes en caoutchouc
et on profite des dernières journées ensoleillées.




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mercredi 18 novembre 2009

En France, on n'a pas de pétrole, mais on a des idées...(*)

Carine a ses petites zhumeurs (message personnel pour Marie-ma belle-soeur-institutrice-préférée : ceci n'est pas une faute !) mais aussi des projets professionnels.

Pour les concrêtiser, une étude de marché s'impose. Alors si tu aimes coudre, tricoter, broder, prends 5 mn de ton temps pour répondre à son sympathique questionnaire.

Toi qui passe par ici et me laisse gentiment un com' de temps en temps, fais-le.
Toi, encore plus nombreux, qui passe par ici et ne me laisse pas de message (quel dommage, j'aimerais tellement te connaître mieux !), fai-le aussi.

C'est ici.

Merci !

(*) au moment où je termine ce billet, connectée près du canapé, j'entends mon homme me dire "et on n'a pas de footballeur non plus !"

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samedi 14 novembre 2009

Le serment du jus de pomme(*)

(*) le jeu de mot n'est pas de moi, mais de Pierre Dac (dans la série Signé Furax).


Après les lumières, et toujours sur une idée amusante et poétique de Lisa, j’ai traqué les pommes dans la maison.

C'est parti.

Une pomme sur un cube en bois / Des pommes rôties à la crème de carambar dans le dernier numéro du magazine Saveurs / Pommier sur un mur de la chambre de Leonard / Livre « les pommes et autres fruits » dans la collection « Mes premières découvertes » chez Gallimard / 3 pommes reinettes sur la table à manger / Comptine extraite du magazine « Petites histoires » n°3 de novembre 2004



Et encore.

Couverture du magazine Pomme d’Api / Une vendeuse de pommes dans le jeu « Pictolino Junior » / Pommier sur le dernier jouet de bain acheté / Pommier sur le CD « Les plus beaux contes pour enfants » / Pomme sur le biberon / 8 Pommes sur les boîtes gigognes en carton




Je me rends compte avec cet inventaire que la plupart des pommes trouvées chez moi concernent les objets de l’enfant.

La maman veut aussi des pommes !

Celle-ci en particulier.



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mardi 10 novembre 2009

Monkeys

Hier, virée entre filles à Bordeaux.
Au programme : des tissus, des tissus, des tissus.
Et un p'tit resto en terrasse (un 9 novembre, on croit rêver).
Et j'ai oublié mon APN (la truffe).

Marché place St Mich', Toto Soldes, La Droguerie ...autant dire, le grand écart entre les lainages à 2 € le mètre au marché et le mini-coupon de liberty à 16 € à LD...
Enfin, depuis le temps que je voulais du Cars, je l'ai (oui, je sais, ça date, mais moi, à ce prix-là, je muris longuement la réflexion !!!).

J'ai attaqué la pile aujourd'hui, en commencant doucement (pas touché ma MAC depuis septembre, faudrait pas que j'ai perdu la main et que je gâche mon beau liberty, tiens !).
Un gilet de berger pour Poupilou, coton rouge imprimé singes et lainage anthracite, le tout from Toto.

Ca n'a l'air de rien, toute la blogo a déjà fait 100 fois ce gilet, mais moi c'est la première fois que je double un vêtement. Et j'avoue que ce petit lien m'a bien aidé.
Patron gratuitement fourni sur le blog de C'est Dimanche.
Agrandissement gratuitement fourni par mon homme.


 

A suivre, des pommes !


dimanche 1 novembre 2009

Conversation et prononciation

Hélisa : "Leonard, tu ne devrais pas mettre tes petits bouts de fromage trop près du bord, tout va tomber"
Leonard : "pré du bô moi, pas tombé le mona"
Hélisa : "On ne dit pas bo Leonard, on dit bord"
Leonard : "Bo"
Hélisa : "Non, Leonard, pas bo, bord, bo-re"
Leonard : "Rrrr"
Hélisa : "bo-rrrr"
Leonard : "Rrrr", "Bo"
Hélisa : "Non, bo-rrrree"
Leonard : "Rrrr", "Bo"; "Rrrr"
Hélisa : "Non, Bo-rrrre, Rrrre"
Leonard : "en ai marrrrreeeee"

Echange entre Hélisa (7 ans) et Leonard (2 ans),  rapporté par ma soeur, samedi 31 octobre, au dîner.

samedi 31 octobre 2009

Vert Eveil

Stéphanie Chemtob est une maman, par deux fois, mais pas que.
Depuis peu , c'est aussi une créatrice d'entreprise.
Elle fait le pari de concilier vie familiale et vie professionnelle (mon rêve !!!), en créant sa boutique de livres et jeux éthiques.
Ce n'est pas moi qui le dit, c'est elle :

"C'est le désir de mettre entre les mains de mes enfants des livres et des jeux intelligents, beaux et ludiques qui m'a donné l'idée de créer ma propre boutique. Je vous la présente ici telle que je l'ai rêvée, guidée par trois grandes convictions :

- le jeu est le mode de vie, de communication et d'apprentissage des enfants.
- le livre doit investir les chambres des enfants dès leur plus jeune âge pour stimuler leur curiosité, leur imagination et leur donner plus tard le goût de la lecture
- La protection de l'environnement est l'une des grandes problématiques d'aujourd'hui et de demain. Apprendre aux enfants pourquoi et comment faire attention à leur planète est incontournable.

La boutique en ligne s'appelle Vert Eveil, et c'est par  que ça se passe.
 
Longue vie à ce beau projet Stéphanie !
 


mercredi 28 octobre 2009

Magazinage

Tous les samedis midi, mon homme ramène de sa boutique la pile de magazines et journaux pour le WE, et là, l’exposé du butin de chacun est une caricature (que j’assume) :


Pour l’homme, L’Equipe
Pour le baby boy, Papoum
Pour bibi, Elle
Et pour tous, Telerama

La caricature s’arrête là car au final, dans la famille, on s’échange aisément les lectures, faut pas croire qu’on est sectaires non plus !

Papoum, ça va de soi, est lu (et lu, et encore lu, et toujours lu,
et arrrghhhh, passez moi un Popi avant que
je devienne TroTro killeuse) par le père, la mère,
le fils
(mais surtout par la mère pour le fils en fait)

L’homme potasse les fiches cuisine de mon Elle

Je lis les pages football de son Equipe
(aie, je sens que je viens de perdre une partie de mon lectorat, là…)

Le baby boy cherche frénétiquement les pages
parfum de mon Elle (oui, celles où l’on décolle la bandelette
de laquelle se dégagent les effluves tant convoitées).
Cherchez pas, le baby boy a plein de lubies plus farfelues
les unes que les autres, dont celle de vouloir renifler
tous les soirs toutes les bouteilles de parfum,
lait démaquillant, lotion après-rasage,
crème pour les mains, etc…
Alors, pensez donc, quand le samedi arrive,
 quelle joie de respirer des parfums inconnus dans Elle !
Et quelle déception, quand lesdites pages ne contiennent pas l’échantillon parfumé !

En parlant de lubie farfelue, je confesse que mon addiction à Elle n’est pas loin de confiner au dérangement psychologique. La plupart du temps, dans Elle, je trouve les sujets de société mal développés, les pages mode outrancièrement hors de portée (au choix : de mon porte-monnaie, de mon tour de hanches, de ma capacité à assumer), les pages culture limitées…mais quand bien même, je ne peux m’empêcher de le feuilleter !


Ce matin (oui, car le sort de la mère qui doit lire 2-4-8 livres à son fils tous les soirs et jouer aux playmobil le reste du temps disponible, c’est de ne pouvoir lire son magazine féminin qu’à dose homéopathique) je découvre les pages « Déco, 30 idées à moins de 50 € », tout un programme !
A moi les dernières tendances, enfin je vais pouvoir acheter ce qui me fait baver dans Elle !

Faute de quoi, je pars d’un grand fou rire (ce qui est encore mieux que la perspective de dépenser quelques euros pour un objet finalement pas si hype et que tout le monde aura PUISQUE c’est Elle qui dit qu’il nous le faut).
Fou rire, donc, car Elle, bien que n’ayant pas repris pour cette rentrée (quelle bonne idée) sa rubrique Do It Yourself (Elle en parlait très bien, et Elle aussi), nous ressort de-ci-de-là ses astuces à trois francs six sous !

La palme, cette semaine, pour la suspension en ruban écossais.

Jugez plutôt : une carcasse d’abat-jour et quelques 1 m de ruban qu’on entoure négligemment pour faire genre « mon lustre couture » ! Cet objet déco unique (et estampillé « c’est moi qui l’ai fait ») est sobrement intitulé « la lampe enrubannée »
Même pas assez de ruban pour recouvrir l’ensemble de la carcasse, quelques malheureux points de colle qui ne passeront pas l’humidité de l’hiver, un rendu vraiment cheap, ou devrais-je dire vraiment foutage de gueule ??? Hummm ???


Ah, mon Elle, comme je t’aime quand tu me fais rire de bon cœur le matin.

lundi 26 octobre 2009

Scrap(erlipopette)

Non, non, je ne vous refais pas le coup des injures autorisées bien que celle-ci conviendrait aisément aux agacements du quotidien, pas vrai ?

Non, non, je me fends d'un titre de la loose super funny, pour vous montrer le beau cadeau que j'ai reçu à l'occasion des 2 ans de Leonard. Oui, vous avez bien lu, un cadeau pour MOI !

Il m'a été offert par la talentueuse Fred avec qui je partage le même employeur, la même cantine, le même café (ou thé), les mêmes collègues (yeahh, trop d'la balle. Aurélie, ce message subliminal n'est pas pour toi !)  mais surtout le même besoin impérieux de créer, bricoler, bidouiller dès que nous avons 10 mn devant nous.
Ca donne pour elle comme pour moi, des photos (beaucoup), de la couture (un peu), des griffonnages d'idées (tout le temps) sur le moindre bout de papier qui traîne, des discussions enthousiasmantes et des échafaudages de projets de reconversion  pour la saint glinglin demain.

Mais il y a une chose qu'elle fait  et pour laquelle je n'ai aucun talent, c'est le scrap (oups, je vous l'avais dit qu'il était trop funny mon titre !).
Regardez plutôt le merveilleux mini-album que je ne me lasse pas de feuilleter :



Merci Fred !

dimanche 25 octobre 2009

Manhattan transfert

Bon, j'en ai bientôt fini avec Gotham City sur ce blog, promis (quoique..).
Mais avant de clore ce chapître, j'avais envie de vous montrer que le monde est décidemment tout petit, et aussi que les sources d'inspiration se trouvent partout. Celle-ci (de source, et d'inspiration) pourrait être le début de quelquechose, tant je cogite et je tourne dans ma tête des envies d'autre chose.

Le monde est tout petit, donc.
A quelques blocs de mon hôtel, situé Watts street, j'ai croisé Leonard Street !
Nous sommes tombés dessus par hasard (oui, j'avoue, je n'avais pas appris par coeur le plan de Manhattan, ni même de Soho avant de partir), en marchant vers le pont de Brooklyn (au passage, le nom d'une très bonne bière dégustée quotidiennement dans le pub devenu notre cantine pendant le séjour).



Et je n'ai pu m'empêcher de photographier cette coincidence.



Les sources d'inspiration se trouvent partout, donc.
De cette photo, j'ai eu l'idée (ouais, ça m'arrive d'en avoir, mais ne vous emballez, je n'ai pas inventé le fil à couper le cheese-burger non plus !!) de customiser un t-shirt de Leonard, aka Poupilou (mais j'ai eu beau chercher, je n'ai pas trouvé de rue Poupilou à New York !).

Il me fallait vite essayer, ça tombait bien il me reste UNE feuille transfert pour textile foncé. Ah oui, mais point de t-shirt uni et foncé sous la main ! Et comme il me fallait vite essayer (mon impatience me perdra), je me suis précipitée dans le premier magasin à-pas-cher de mon bled, et j'ai dégôté pour 1€90 (ouiiiiii !), un t-shirt et un col roulé à manches longues, unis, foncés, mon graal !!!

Sans aucune retouche de la photo (mais j'ai des idées pour les prochains, héhé), je me suis jetée sur mon fer à repasser (ce n'est pas si souvent, pas sûr que la bête infâme à vapeur s'en remette), et j'en ai tiré un t-shirt à col roulé, qui rock'n'rollise à souhait ce joli pantalon à carreaux et ses belles chaussures assorties




Cet essai m'a donné des idées, j'espère en reparler bientôt !
A ce propos, je me suis amusée sous photoshop à personnaliser le nom de la rue, et j'ai joué avec photoscape pour améliorer le rendu.
Ca pourrait  donner ça (spéciale dédicace à nos compagnons de voyage...) :




Voilà pour mes petites occupations des jours de pluie...

A suivre, un cadeau pour  les 2 ans de Leonard moi mais pas fait par moi !


jeudi 22 octobre 2009

Manhattan

De retour de New York City, reboostée à bloc (jeu de mot, yeah! ), cette ville est tout simplement enchanteresse !
Ville de paradoxes, où tout est grandiose et intime à la fois, simple et extravagant, cosmopolite et tellement américain.
Je n'y suis restée que 4 jours et j'ai pourtant l'impression d'avoir habité cette ville comme nulle autre.
C'est avec le sentiment d'en avoir vu beaucoup mais aussi d'être passée à côté de tellement que je reviens, prête à repartir demain !
Se peut-il qu'un lieu vous envoûte à ce point que la possibilité d'y vivre, d'y rester vous taraude ?

Pour autant, point de déception d'être rentrée, ne serait-ce que pour revivre à l'infini la fraction de seconde où le regard de mon fils et le mien se sont croisés après 6 jours de séparation !
Son excitation et sa joie n'avaient d'égal que mon émotion (et mon impossibilité à retenir mes larmes).
Dieu que ce moment était beau...

Pour la parenthèse qui m'a été offerte de vivre comme j'aime, pour le bonheur éprouvé lorsque je l'ai retrouvé, il me vient des idées (et des rêves) de changer de vie, de métier, d'avoir plus de temps à consacrer à mes passions, mon fils figurant en tête de liste évidemment !

Quelques photos sélectionnées dans la mosaique, juste là, à gauche. On peut même cliquer dessus pour voir les photos en grand !

(Et au passage, si quelqu'un sait comment insérer une mosaique flash (flickr) dans le corps du message, je suis preneuse !)

mardi 13 octobre 2009

lundi 12 octobre 2009

63 072 000 secondes





Mon être lumineux.
2 ans aujourd'hui.
Bon anniversaire.
Maman


vendredi 9 octobre 2009

Fichtre !

Fichtre, zut, flûte, je n'ai plus le temps de rien, ce sale boulot alimentaire occupe une proportion non négligeable de mon temps disponible, au point que si je calculais mon salaire-horaire ces jours-ci, ça en serait risible (ou à pleurer, selon ma capacité ou non à prendre du recul et à jouer du second degré).

Mais fichtre, zut, flûte, c'est aussi le nouveau vocabulaire un brin désuet auquel je m'astreins au quotidien, depuis que j'ai entendu Poupilou me lâcher un gros PU#AIN rageur alors qu'il échappait le bouchon de son biberon l'autre matin...
On s'essaye aussi aux insultes du Capitaine Haddock, mais comment ça s'écrit Bachibouzouk ???

Alors voilà, tout ça pour dire que je n'ai rien cousu, peint, décoré.
J'ai quand même pris beaucoup de photos lors de notre week-end en famille, côté paire père.

Petit florilège des meilleurs moments de Leonard (les cousins "matin" et "timtim", "tatiMaï", "Tonton éfane", "Papou" et "Mamo", le foot, cache-cache, le parc, les framboises, la bagarre, le bain...)



clic sur la mosaique si tu veux !

Et pour l'enthousiasme juvénile qu'elles ont réveillé en moi, les montgolfières au-dessus des maisons (de Faches)



là aussi tu peux cliquer !

Fichtre, dans 5 jours je m'envole pour NYC, et je laisse Poupilou pour la première fois plus d'une nuit (6 jours, une éternité !) loin de ses parents. Tonnerre de Brest, mais qu'est ce que c'est que cette idée folle de partir en vacances sans lui ???


Edit du soir :
Je viens de découvrir (chez Peg) que Lili Graffiti ouvre sa boutique en ligne. C'est La petit' échoppe de Lili, et avec un nom pareil, la bordelaise que je suis ne pouvait que relayer l'info.
Cerise sur le cheesecake (arggh, NYC me voilà !), deux cadeaux sont en jeu.
Perso, j'aimerais bien gagner celui-là :




C'est fichtrement beau, hein ?!
Et tout est à l'avenant dans sa jolie boutique, c'est coloré, gai, à croquer (comme la pomme...arghh, NYC me voilà !)


Edit du lendemain :
Suite au commentaire d'un charmant visiteur (sic), je vous mets le lien, il est vrai fort complet, des insultes du Capitaine Haddock . Ca donne des idées ! A quand la prochaine envie de crier "bougre de crème d'emplâtré à la graisse de hérisson" ? (L'affaire Tournesol)
 

dimanche 20 septembre 2009

Constantin, la palette, la boutonnière !

Domptée !

Tel est mon sentiment après avoir cousu ma 1ère boutonnière, j'ai dompté la Singer et surtout, surtout, son mode d'emploi qui parle français comme une vache espagnole (et encore, en imaginant que le bovidé ibérique sache coudre...).

Bon, ok, les couturières de la semaine (ie, je ne suis qu'une pauvre couturière du dimanche) doivent se marrer : "Côôaa, elle a galéré pour coudre une boutonnière automatique ??? ahahah, c'est quoi c't'handicapée du pied presseur ??".
N'empêche que j'avoue : j'ai du mater la vidéo pour comprendre !

Bon, et alors me direz vous, ça donne quoi au final ?
Une constantin à un bouton. C'est que la couturière du dimanche connait ses limites, et sait qu'une première expérience couturesque réussie ne donne aucun gage de succès pour la seconde..alors quand il ne reste que ça à faire pour terminer la tunique, elle réfléchit 2 secondes 1/2 et se dit qu'il vaut mieux se contenter d'un bouton plutôt que de gâcher tout ce travail et son joli tissu.

Voici donc la Constantin One Button for Mister Poupilou himself :


Le tissu, très beau et parfait pour cette saison, vient de la palette de Maricle. Le tissu blanc de la parementure est un reste de taie d'oreiller.

Un cadeau pour Poupilou bien mérité, le petiot a une bronchiolite :-( (Marie si tu nous lis, on espère que ça ira mieux vendredi...)

Pour le patron, j'ai du élargir la parementure, sans quoi je ne comprends pas bien comment on peut faire un rentré digne de ce nom...

vendredi 18 septembre 2009

Love at first light

Vu chez Maricle, organisé par Lisa, un jeu-photos comme je les aime, où tout le monde peut ouvrir son chez soi et découvrir celui des autres.
Le thème est beau comme tout : les lumières.
Alors c'est parti.


Ces deux-là sont des trouvailles de brocante, à St Mich' pour le 1er, et quelque part en Gironde pour le 2nd.

Je ne sais pas d'où vient le tableau, c'est un cadeau offert par ma soeur. Il est en métal, céramique et miroir, une pure merveille. La lampe-tube vient du BHV.

La guirlande-étoiles vient de chez le Suédois et la lampe sur pied (à 5 branches) vient du BHV (qui, je dois dire, possède un rayon luminaires intéressant. Et puis j'ai 20% de réduc' au Bazar, ça compte !)

Dans la salle de bain, j'avais craqué il y a quelques années sur cet objet aérien, qui fait de beaux reflets au plafond. Il vient de chez Alinéa je crois. Tiens, il faut changer une ampoule sur le fil tendu de la salle de bain !

Et pour finir, une lampe qui a une valeur sentimentale certaine, le pied ayant été confectionné par ma soeur (tiens, elle doit aimer les lampes également ;-) ). Posée sur une table chinée, retapée et customisée par mes soins il y a quelques années (mosaique inspirée des oeuvres de Keith Haring). Je vous reparle de mosaique bientôt à ce propos...
La lampe de chevet est plus anecdotique, mais je dois dire qu'elle adoucit le pire moment de la journée, car en plus de diffuser une lumière douce, elle me réveille au cui-cui des oiseaux !

mardi 15 septembre 2009

Bien sûr que oui...

...j'ai retrouvé Susanne...et sa version mini ;-)

Pour ce premier challenge, j’ai donc cousu deux Susanne : la première, en guise de test, pour moi. Et la deuxième, pour offrir à une petite Juliette à l’occasion de ses 2 ans.

Pour la version « Grande Fille », j’ai utilisé deux tissus, un pour la jupe et un pour l’empiècement. Le 1er vient de chez Toto et le 2ème est une trouvaille dans un vide-grenier cet été.
Suivant les conseils des fans de citronille, j’ai bien réduit la largeur de la robe. J’ai pris une taille de plus pour l’empiècement et fait un pli plat plutôt que des fronces (par goût). Enfin, j'ai rallongé la robe dans le même tissu que l'empiècement.
Au final, je trouve les manches encore trop grandes, et ça glisse un peu sur les épaules.
En revanche, je suis plutôt satisfaite des finitions...je progresse !


Pour la version « Petite Fille », 3 tissus from Toto, un pour la robe, un pour l’empiècement et un pour les manches. Mêmes modifs que pour l’autre, avec en plus (pour éviter que les manches tombent) un empiècement dos plus haut que l’empiècement devant.


J'ai adoré participer à ce challenge, c’est la 1ère fois que je couds pour moi et sans ce défi je ne me serais peut-être pas lancée si tôt !
Je m’en vais voir les réalisations des autres participantes.
Prochaine réalisation : finir la Constantin...autrement dit : apprivoiser la boutonnière !

samedi 12 septembre 2009

Ne me dérangez pas...

...je couds !




une parementure, des boutonnières......hum, je me fais suer régale avec ce patron qui tombe si mal bien !!!

Edit du dimanche soir :
La parementure est finie. Après 5 essais (heureusement pour moi sur un bout de chiffon) de boutonnière (une qui n'a pas de fin, une qui fait un gros pâté de fils au démarrage, une qui ne part jamais, etc...), je crois que j'ai compris le truc...mais je suis tellement sûre de moi que je n'ai pas osé me lancer "pour de vrai" ;-)

mercredi 9 septembre 2009

2 ans

Et non, ce n'est pas l'âge de mon blog, ni celui de Poupilou (c'est bientôt, argghhh), mais celui d'une jolie Juliette.


Pour l'occasion, j'ai confectionné une Susanne, que je dévoilerai complètement le 15 septembre, jour de remise des copies pour le challenge "T'aurais pas vu Susanne ?", en même temps que la mienne.

Le cadeau sera remis à sa maman aujourd'hui, aussi je vous montre un petit aperçu en exclu !!

dimanche 6 septembre 2009

Vintage (ou l'histoire d'une éternelle collectionneuse)

Du plus loin que je me souvienne (ça ressemble à du Barbara, je sais), j’ai toujours collectionné.
A 5 ans, les billes.
A 10 ans les boîtes de soda et les papiers de chewing-gum Hollywood (ma mère peut en témoigner !!!).
A 13 ans les papiers à lettre (ornés, au choix, de petites fleurs, petits cœurs, petits lapins, petites Sarah Kay..).
A 14 ans, les mauvaises notes et mauvaises appréciations (mon père peut en témoigner !!!).
A 17 ans les garçons les briquets et boîtes d’allumettes.
A 20 ans, les miniatures de parfum.
A 28 ans, les objets de bar (tasses, verre, mélangeur, cendrier, plaque émaillée, etc…), avec une préférence pour ceux siglés Noilly Prat (tout ça parce que j’avais trouvé dans le grenier de mes grands-parents un seau à glaçons en verre de cette marque, il faut bien une 1ère pièce à une collection).
A 36 ans bien tassés, me voici partie à la chasse (car le plaisir est dans la recherche autant que dans la possession) aux jouets, vintage de préférence, pour le Poupilou.
De mars à octobre, j’arpente consciencieusement un vide-grenier par week-end, et ce qui est bien avec ma dernière lubie, c’est qu’elle est facile à satisfaire et peu onéreuse !!!

Dimanche dernier, la pêche fut plutôt bonne.

Un domino-puzzle sur le thème des voitures (années 70, le père est encore plus ravi que le fils je crois ! Y’a même ma première voiture, tout ça me met un coup de vieux la pêche ;-) )
Le jeu est complet, surréaliste pour la maman que je suis, tant le Poupilou qui sévit ici perd, casse, sème, éparpille, détourne, mélange, tout ce qui tombe sous sa main !




Un bébé little-people et son cheval à bascule (1972)


Un dernier jeu, dont j’ai oublié le nom (si vous savez, laissez moi un commentaire, merci !!!), tout aussi charmant (1990 - pas vintage, mais tout de même, bientôt 20 ans)


Et pour finir, je ne résiste pas au plaisir de vous montrer le superbe bureau-pupitre trouvé il y a quelques semaines, même s’il est encore dans son jus pour l’instant !

Il a des formes plutôt rondes qui me font penser aux meubles des années 50, il est équipé d’une ardoise, d’une « boîte-plumier » sur toute sa largeur (cachée sous le plateau) et il se rabat complètement.
Il y a du boulot, mais pour quelques euros, quel potentiel !!!




Voilà, maintenant vous savez où me trouver le dimanche matin !



Un dernier mot sous forme d'avis à celle qui prépare également un cadeau home made pour l'occasion : la Susanne est ter.mi.née !! A voir très prochainement, dès qu'elle sera offerte et au plus tard dans une semaine...

vendredi 28 août 2009

Eh oh, tu n'as que 2(2) mois j'te rappelle !

J'ai lu, compulsé, organisé dans ma p'tite tête, tout un tas d'informations sur l'éducation, cherchant selon l'humeur et le contexte, réconfort, réponses, idées, confortation.
Ce n'est donc pas comme si je n'étais pas prévenue.
La phase d'opposition, tout ça, tout ça...
Et bien je vous l'annonce tout de go : on a beau s'y attendre, on n'en est pas moins désarmée quand la salve de "non", "pousse toi", "aime pas ça" et autre "veux pas ça moi" vous tombe dessus comme un troupeau de mammouths en pleine charge !

C'est que moi, voyez vous, j'en suis encore à regarder mon fiston comme s'il était né avant-hier.
Il faut croire qu'il a grandi plus vite que sa môman...ouais, je sais, je suis là à me lamenter sur ce qui relève d'une banalité exemplaire. Mais je m'en fiche de savoir que tous les enfants sont comme Poupilou et toutes les mamans comme bibi...mon bébé garçon était censé zapper la période "colères", j'avais tout organisé dans ma p'tite tête, j'vous dis !!!

Rahlala, au lieu de quoi, il se vautre en plein dedans.

Et que j'te pique une crise parce que j'arrive pas à remettre la casquette sur la tête du playmobil-policier, et que je te refuse de manger le plat amoureusement cuisiné par maman, et que je ne veux plus aller au lit, et que j'te passe ma journée à chouiner des "viens, maman, viens" (en réalité, ça ressemble plutôt à "bien, mamang, bien") et que, et que, et que...ça ne va donc JAMAIS !!!!
C'est qu'il en arriverait presque à déclencher des engueulades père-mère ce p'tit monstre.

Retour à la case départ : rouvrir ses livres, se rappeler des mots-clés : phase "normale" de l'affirmation de soi, ne surtout pas provoquer de blocage sur la nourriture, ne pas crier, ne pas montrer qu'on est plus fort que lui...bref, se souvenir que Madame Zenitude est notre meilleure alliée.
Et profiter, choyer, mentaliser (pour les jours de disette !) les moments sereins, amoureux, cajoleurs, joueurs.

Et quand vraiment plus rien ne marche, donner un gâteau*





*nan, j'déconne, la gourmandise n'est pas une arme d'éducation massive (quoique), juste un vilain défaut partagé par Poupilou et sa mèèèèère !

mardi 25 août 2009

Dans le Lot # 2

La famille au grand complet (!!!) s'est donc rendue dans le Lot pour une petite semaine de dépaysement. C'est qu'à 2h30 de chez nous, on peut y entendre les cigales sous 40° à l'ombre.

Le bébé petit garçon a fait preuve d'admirables capacités d'adaptation (as usual).
Le rythme était tel (lever à 8h30, petite escapade le matin, sieste de 2 voire 3 heures l'après-midi, petite escapade en soirée, dîner, dodo) que la MAC a fait le voyage pour rien ! Trop de chaleur, trop bien dans nos maillots, trop mous du g'nou, juste envie de profiter de chaque seconde à ne RIEN faire !!! Quelle luxure !!!
Bon, pour la MAC, elle se console déjà, j'ai attaqué la deuxième Susanne aujourd'hui (après deux jours de lessive et repassage, passés à calmer le Poupilou qui ne s'en remet pas de ses derniers progrès de langage).

Pour le reste, de beaux souvenirs immortalisés...

Et dire qu'il va falloir attendre UN an pour les prochaines grandes vacances...

lundi 24 août 2009

Retour en douce(ur)...

Les vacances étaient extra, les photos trop très nombreuses, d'ailleurs quelques clichés seront bientôt en ligne.
Mais le retour est un peu morose, c'est la dernière ligne droite avant la reprise et ça me rappelle les veilles de rentrée scolaire, un arrière-goût de "pas envie" dans la gorge :-(

Pour me remonter le moral, rien de tel qu'une petite vidéo du poupilou, vite tournée, vite montée...et une révélation en prime !



samedi 15 août 2009

Partis !

Nous y sommes, à 15 mn du départ en vacances !

La voiture est pleine (même la MAC fait le voyage !), quatre petites heures de route, pique-nique compris, avant d'arriver à destination(le Lot, again).

RDV dans une semaine...


mercredi 12 août 2009

Susanne

J'ai commencé, et presque terminé, ma première Susanne !

Un patron citronille qui mérite quelques retouches, mais qui au final me plait bien.

Petit aperçu (défilé le 15 septembre). Le tissu vient de chez Toto, en coton tout doux et tout léger, parfait pour l'été. Celui utilisé pour les empiècements vient d'un vide-grenier visité lors de notre escapade dans le Lot (oui, le même où nous avons trouvé l'objet mystère pour Leonard).




A très vite !