La pochette de cantine

Non, non, je ne suis pas déjà entrain de préparer la rentrée de Leonard (misère, il va pourtant falloir que je m'habitue à cette idée !).

Mais il n'y a pas que les enfants qui vont à la cantine, il y a aussi ma grand-mère qui vit en maison de retraite.
Hier, à l'occasion d'une de mes trop rares visites, je lui ai apporté cette petite pochette pour sa serviette de table, et elle était ravie (je crois que c'était plus pour ma présence que pour ma pochette !!!).

Tissu extérieur Petit Pan (ramené par Fred, pfffiou, l'année dernière ?) et doublure MT (reste des sacs à jouets).

Bout de ruban du stock et bouton Marché St Michel.

J'avais également apporté sa boîte à ouvrages, remplie de coton, crochets, début de granny squares, etc...j'ai donc commencé hier ma formation, pffff en dehors du point de chaînette, je sens qu'il va me falloir de l'entraînement pour maîtriser la bête !

Allez, on est samedi, je pars rejoindre mon p'tit garçon d'amour !

Bon week-end.

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The beach (COW) Boys

Tu pensais en avoir fini avec mon catalogue bovin ? Tu avais oublié mon goût maladif prononcé pour la collection, hein ? Pffff, que tu es naïf !

Alors, la dernière fois, je me trouvais devant la mairie. Je remonte vers Gambetta par la rue des Remparts, je tourne à l'angle du Bilboquet (est-ce que le nom a changé ? C'est drôle, on en parlait hier avec Fred et Aurélie, nous avons découvert de longues années après que nous partagions le même dance floor dans les années 90, on ne se connaissait pas à l'époque !), puis rue Bouffard pour tomber direct sur la place Gambetta.

C'est là qu'elle glisse, la belle Belharra.

Elle est l'oeuvre des jeunes de la fondation d'Auteuil du lycée professionnel St Joseph de Blanquefort, coachés par Clémentine Roche, professeur d'art plastique et artiste peintre bordelaise.

Je suggère à Belharra de prendre son combi VW et de descendre dare-dare à Hossegor !


Si tu es sage, la prochaine fois je t'emmène au Jardin Public, là-bas les vaches se tournent vers l'enfance (comme c'est étrange !).

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Ton héritage

Ecouter en boucle cette chanson de Benjamin Biolay et la trouver si appropriée aux sentiments qui m'animent quand je pense à mon fils, celui que je l'imagine devenir.
Savoir la force de l'héritage, et son poids parfois.
Souhaiter qu'il n'en fasse qu'à sa tête tout en sachant d'où il vient.
En avoir, souvent, le souffle coupé.

PS : je n'ai pas réussi à bidouiller le code pour oter cet horrible bandeau "pets", mais on peut toujours cliquer sur la croix !


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la vache engagée, perpette et acdc

Retourne toi, devant le Rohan la vache se politise et affirme ses convictions ! Peut-être a-t-elle des choses à dire sur l'engagement bordelais qui penche toujours à droite ? Toujours est-il qu'elle s'obstine à tourner le dos au fronton de l'hotel de ville, les nasaux fumants, prête à en découdre.
Par rancunière, la ville est l'actuelle propriétaire de la "vache engagée" !!!
Créée par LEM (Michel Lemaître), sculpteur.

La grille est fermée, mais nous jetons un oeil dans la cour, et là, oh my god, 2 vaches, et même 3 !
"Perpette" trône sur les marches de l'hotel de ville, vaches siamoises au cuir argent, et "acdc" se déguise en Angus Young...ah, que j'aurais voulu approcher ces deux là de plus près !!!

"Perpette" est l'oeuvre de Kenneth Scott Ward.
"acdc.fr" a été créée par Jean-Claude Causse (sculpteur. Ces oeuvres sur la tauromachie sont majestueuses) et Claire Charbit (graphise et styliste de mode).

Prochaine destination : Hawaï !

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One Depack cow per field

Suite de ma virée photographique dans les rues bordelaises, ligne A, arrêt "hôtel de ville".

Place Pey-Berland, entre St Christoly & la flèche de la cathédrale, une vache blanche tâchée de noir, et un joli jeu de mots pour ce petit carré de verdure.

Une vache objet publicitaire, qui vise à promouvoir l'entreprise Depack (architectures commerciales). Originalité : tous les collaborateurs - du designer au comptable (oui !!!!) - ont participé à sa conception !

Demain, on fait le tour de la place pour une séance devant le Rohan et  puis on ira jeter un oeil dans la cour de la mairie. Meuhhhhh.

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La laitière de la Benauge

L'expo fait le tour du Monde et cet été elle s'arrête à Bordeaux, yépiiiiiii !


"Bordeaux & cow 2010", c'est 60 vaches toutes identiques au départ et toutes uniques à l'arrivée.
Des artistes pour la plupart du Sud-Ouest se sont appropriés l'objet pour un rendu extravagant dans cette ville si désuète (et néanmoins belle) et bien élevée.
Les vaches seront vendues aux enchères à la fin de l'expo (mi-septembre) au profit de la banque alimentaire de Bordeaux et Gironde

Alors quand une expo fait le tour de ma ville, je n'ai qu'une envie c'est traquer l'objet d'art comme dans une chasse au trésor (ça sent bon l'enfance) pour le photographier sous toutes les coutures.

Les présentations étant faites, c'est parti pour le "one day, one cow" !

Ci-dessus, "la laitière de la Benauge" a pris ses quartiers place Stalingrad, sur cette rive si mal aimée des bo-bo-rdelais.
Elle est l'oeuvre de Marie-France Mignano, artiste-peintre bordelaise. J'ai visité sa galerie, et j'avoue un gros faible pour son travail de colorisation (est-ce le bon terme ?) de photos (quelle surprise !).

Première photo avant de montrer dans le Tram, je suis sous le charme !

RDV demain, je vous présenterai une vache "presque" normande, rencontrée place Pey-Berland.

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Les vacances à Sanglier

Leonard est parti en vacances, direction Sanguinet.
Lui il dit "sanglier", et il compte les autoroutes pour y parvenir ! 3, "oh mince alors" !
Leonard n'aime pas trop l'autoroute, ça fait "brrrr" quand on roule.
Heureusement, on y croise plein de ca-hon, ceux qui portent les watur', les ca-hon poubel', les ca-hon benne, les ca-hon toupie. Et puis les motos.
En chemin, il reconnaitra les pins des Landes, et les  immenses bras arroseurs de champs de maïs (quel scandale écologique !!!).

Pour ce 1er départ sans nous, il portait une Donald finie hier soir et photographiée ce matin.
En tissu du suédois, avec des ca-hon, des bus, des watur' et des motos.
Donald sans doute vite abandonnée au profit du marcel quotidien, c'est la canicule ici plus qu'ailleurs.

En taille 4 ans et longueur 6 ans (un peu trop longue du coup mais j'avais le souvenir d'une 2 ans trop courte..., Citronille et les tailles, ça reste un grand mystère pour moi), manches raccourcies et biais pour l'ourlet du bas (sans quoi je ne sais vraiment pas faire un joli ourlet arrondi).

Ce soir la maison est silencieuse.
On va sûrement s'y faire et apprécier notre nouveau rythme très vite, les soirées ciné et les verres de vin blanc en terrasse.
Mais pour l'instant, la maison est juste silencieuse.

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